dimanche 27 septembre 2009

I.24 Hittites (DBM 25-250)

Comme prévu dimanche dernier, Dc Jekyll a laissé M. Hyde relativement peinard pour finir le bonus de mon ANTI-APO (mais sans le week-end M. Hyde n'y serait pas parvenu tant Dc Jekyll règne en maître sur la semaine...). J'ai apporté la touche finale au resoclage des Carthaginois d'Hannibal cet après-midi. Trop juste pour prendre des photos et faire une présentation détaillée de l'armée. Ce sera l'objet d'un post plus détaillé la prochaine fin de semaine.

En attendant, une présentation très rapide de la principale menace planant sur mon projet de finir des Français Médiévaux 15 mm pour Noël.

J'ai racheté des Hittites 25 mm à Thierry, mon maître vénéré (celui qui m'a appris à peindre). Il s'agit de figurines Touller. La gamme 25 mm de chez Touller est de moins bonne qualité que celle du 15 mm. Mais j'aime bien les Hittites.

Thierry a peint une grosse armée DBA. D'après mes premières estimations, j'ai entre 30 et 40% des figurines peintes nécessaires à l'assemblage d'une armée 25-250. Dans le lot, j'ai récupéré également son stock de plomb non peint. A quelques détails près, il y a largement de quoi finir l'armée. Il y a même assez de chars pour envisager de jouer en 400 points. Si l'âge de la retraite est ramené à 45 ans, je devrais pouvoir finir tout ça avant 2018 !

Trêve de bavardages, passage des troupes en revue (comme d'hab', photos agrandissables par un simple clic).

Le général en chef

Chars Hittites

Chars Syriens

Général Syrien

Cavaliers légers et moyens
(Pas de Cv dans la liste DBM de l'Empire Hittite ; je resoclerai les cavaliers pour faire les quelques éléments d'éclaireurs à cheval et reprendrai quelques robes de chevaux parfois trop exotiques à mon goût)

Lanciers Hittites
(Les boucliers sont à reprendre - comme tous ceux des éléments d'infanterie qui suivent ; le soclage également car je m'en tiendrai à la règle pour représenter les Reg Ax (X) : profondeur d'infanterie moyenne et 4 figurines par socle pour représenter l'ordre serré.)

Autres Lanciers
(dont je ferai d'excellents éléments de Bd (F))

Guerriers Gasgans
(qui devraient représenter de redoutables Wb (F))

Lanciers Syriens
(indispensables Ax (O))

Archers Syriens

Frondeurs et Javeliniers Syriens

Quelques MARIUS de plus...

(De quoi affoler le figomètre... Recensement pas encore achevé... ça ne va pas être facile de mettre tout ça de côté pour finir les Français 15 mm).

Actualisation à l'été 2011. Depuis les Hittites peints ont été retouchés et les non peints... peints et soclés.
La charrerie est présentée ici, tandis que l'infanterie est ici.

dimanche 20 septembre 2009

Chantier 5.1 - Carthage

Après une rude semaine où les activités socio-professionnelles du Dc Jekyll ont réduit à néant l'emploi du temps figurinistique de Mr Hyde, les ateliers Mum Ze Dong Inc. ont rouvert leurs portes.

Au programme, la partie bonus de mon ANTI-APO de cette fin d'année : le resoclage de mon armée Carthaginoise.

Pourquoi resocler cette armée achetée à Nono La Loose ?

1) Les socles de Nono sont (aucune mention inutile à rayer) : sombres, mal foutus, découpés aléatoirement à 4 cm + ou - 3 mm, conçus avec du sable abrasif pour les figurines...

2) J'avais déjà en stock l'équivalent de deux armées DBA Numides et une DBA Gauloise, évidemment soclées selon les hauts standards de MZD Factories : clairs, découpés au cordeau par Litko, recouverts de crépis peint qui maintient les figurines autant qu'il les respecte. Si je voulais pouvoir les utiliser en complément des figurines achetées, il me fallait impérativement harmoniser les socles pour ne pas dépareiller l'armée.

Evidemment, j'en ai profité pour procéder à quelques retouches de peinture.

J'ai équipé les Lanciers puniques de transferts Little Big Men :


J'ai renforcé le rouge des boucliers des Vétérans d'Hannibal puis je les ai salis au "smoke" :


J'ai customisé les boucliers des Auxiliaires Espagnols à partir de l'association rituelle (historique?) noir/rouge/blanc :


J'ai également équipé les boucliers Numides de transferts LBM :


Les retouches de l'infanterie sont terminées. Restent celles de la cavalerie. Tout est soclé. Ne manque que la touche finale : le flocage. Si Dc Jekyll nous laisse tranquille (pour l'instant, seulement deux soirées sur cinq gâchées par des réunions), M. Hyde devrait pouvoir boucler tout ça dans la semaine...

dimanche 13 septembre 2009

ADG 2 - Romains de la République vs Galates

Après trois tentatives infructueuses (dont une dernière roccambolesque interruption de partie due à un urticaire géant - ça ne s'invente pas...), c'est la première fois que j'arrive au bout d'une partie d'ADG, avec Fiston comme adversaire.

Pour ne pas nous confronter aux troupes "Gros Bill" d'ADG (cavaliers moyens/lourds avec arc et/ou impact de classe élite qui terrorisent les armées pédestres ou mixtes), on avait choisi un affrontement d'armées antiques classiques qui se battent comme des hommes, à grands coups d'épée et de lances dans la bouche !

Je me souviens que nous avions déjà joué cette bataille à DBM : ça avait été très chaud, étant donné le caractère radical de l'opposition entre les Bd (O) des Romains de Polybe et les Wb (S) Galates ! Mais au bout du suspense, les Romains l'avaient emporté en utilisant toutes les ruses de sioux permises par leur commandement régulier ; en particulier, en utilisant les auxiliaires pour absorber le choc des guerriers tandis que les flancs galates étaient progressivement rognés.

C'est donc parti pour un bis repetita à ADG ! Autant le dire tout de suite, on ne s'est pas autant éclatés qu'à DBM... Les raisons du pourquoi :

1) Placement du terrain. Rome a l'initiative et choisit de livrer bataille en montagne pour exploiter au maximum ses Velites (4 unités dont 2 élites). Choix de 4 terrains : 2 collines escarpées dont 1 obligatoire, 2 bois. Choix de 2 terrains pour les Galates : 2 bois.

Premier truc qui nous brouille : trop facile pour celui des deux qui veut un terrain dégagé de l'obtenir. Sur un jet de 3+, on peut au moins déplacer (et supprimer sur 5+) un terrain de 6 UD (sur un champ de bataille de 20 UD de profondeur !). Le Galate n'aura donc aucun mal à se débarrasser des terrains encombrants en les repoussant en bord de table. Sans appui au centre de la table, le romain lent et au front réduit sait déjà avant de déployer qu'il devra adopter une stratégie ultra-défensive. Pas glop !

Nos propositions (à débattre) pour un placement de terrain équilibré :
  • choisir jusqu'à 6 éléments de terrains pour celui qui a l'initiative ;
  • en réduire la taille (tout à fait inutile de placer des bois de 6 UD de diamètre quand on n'a pas plus de 5 unités de légers dans toute l'armée !) : prendre comme référence les terrains DBA plutôt que les demi-éléments de DBM
  • rendre les déplacements de terrain plus difficiles en en réduisant la portée (1-2 : ça ne bouge pas ; 3-4 : ça bouge de 2 UD ; 5 : ça bouge de 4 UD) et/ou en les limitant au sein d'un des 6 secteurs de la table.

Déploiement romain
(Figurines Touller peintes par Mum Ze Dong)
Aile gauche : LH avec javelot, Eléphant africain, LI avec arc, 2 cavaleries moyennes, général compétent.
Centre : 4 hastati/principes (fantassin lourd impact élite), 1 triarii (lancier lourd élite), 2 velites (infanterie légère avec javelot élite), général brillant.
Aile droite : même corps qu'au centre mais la légion n'est pas élite et le général est ordinaire.

Déploiement Galate
Aile droite de cavalerie lourde élite, centre de fantassins lourds impétueux avec 2 unités de LI avec javelot et une mini aile gauche de chars légers.










Les Galates en gros plan
(Figurines Old Glory et Corvus Belli peintes par Nono la Loose)
Cavalerie lourde / Guerriers / Chars Légers

Les deux armées face à face dans la morne plaine...

2) L'ouverture. Le Romain prend encore l'initiative et choisit d'attaquer. Du moins, fait-il semblant car la configuration du terrain l'empêche de sortir sans exposer outrageusement ses flancs (peut-être ai-je surestimé l'influence des flancs à ADG mais il me semble qu'un général antique raisonnable aurait les eu mêmes réflexes de prudence...).

La situation après le premier tour de jeu
Le Romain avance ses légers pour génêr le déploiement de la cavalerie lourde galate et la coordination de la ligne de bataille celte... en pure perte. Il renforce son aile gauche en détachant du centre 1 unité de hastati et 1 autre de triarii (c'est la bonne idée du jour) et manoeuvre savamment au centre pour rendre difficile la charge des guerriers (là aussi en pure perte car les lignes brisées ne gênent pas l'engagement à ADG)... En gros, il fait semblant de jouer en n'attendant qu'une chose : la charge du Galate et la confirmation du rapport de force a priori légèrement favorable aux légions.

Deuxième truc qui a nous chiffonné : la confirmation du manque de profondeur stratégique et une certaine inadéquation du système de PC aux dimensions de la table. Exemple : le corps de chars légers galates commandé par un général ordinaire fait 1 au premier tour. Il pourra pourtant faire 2 mouvements de 4 UD (point gratuit du général attaché au groupe), mouvement maximal étant donné l'avance des légers romains. Le 1 n'est donc pas handicapant. Avec 6, il n'aurait pas fait mieux. Tout au long de la partie, Romains et Galates ont jeté par la fenêtre des PC à tous les tours !

3) La préparation du choc. Idée lumineuse du Romain : essayer d'attendrir la ligne de Galates en profitant du fait qu'à ADG, le tir de l'infanterie légère est simulé et peut provoquer une première mise en désordre des lourds. Las, les facteurs sont tels qu'il n'y a qu'une chance sur 12 d'occasionner un pas de désordre aux Galates. Les légers ne font donc que ralentir la ligne galate en l'empêchant de doubler ses mouvements à chaque phase. Mais c'est inutile car la ligne de bataille romaine n'a pas besoin de préparation supplémentaire pour le choc, tout est en place depuis le déploiement !

Harcèlement des Galates par les Velites en avant de la ligne d'Hastati/Principes
Intérêt ? Très relatif... mais bon je n'avais rien d'autre à faire (pas de terrain à exploiter, aucun intérêt à charger moi-même)... fallait bien que je m'occupe...

4) Le choc. Enfin, il se passe quelque chose ? Bof...

Sur l'aile gauche romaine, pas de surprise : la cavalerie moyenne romaine ne résiste pas longtemps à la cavalerie lourde galate ; celle-ci est elle-même dominée par le trio éléphant / triaires / hastati élites.

Au centre, pas de surprise non plus : l'impact des légions (qui annulent celui des impétueux) fait la différence tout de suite. Une fois le désordre créé chez l'ennemi, la dégradation est rapide et la déroute quasiment inéluctable. La prime au plus fort. Pourtant l'engagement galate se fait dans des conditions relativement bonnes (bien meilleures qu'elles ne l'auraient été à DBM face à un général romain qui aurait brisé ses lignes, attiré la charge galate dans un dispositif en entonnoir avec une deuxième ligne et les généraux en retrait et anticipé les poursuites des Wb (s) pour bloquer les reculs avec des légers...).

On s'était dit en prévision des combats : chic, après avoir faire semblant de bouger, on va s'éclater pendant la baston. Et là on a découvert un autre gros souci : la totale indépendance des combats sur la ligne de bataille !
A DBM, le recul ou la destruction d'un élément (voire même le status quo) influe directement sur les combats voisins et impliquent de constamment ajuster la réflexion à l'évolution des combats. Rien de tel à ADG. Une fois les unités engagées, on se contente d'enchaîner les jets de dés. Le seul choix à faire : commencer par la gauche ou la droite ! Youpi !

Alors on s'était dit : à ADG, on doit choisir entre rallier et bouger ; ça devrait mettre du sel au moment de faire des choix décisifs. Là encore, bof, bof...

Il est très probable qu'un maximum d'unités des corps soient engagées, donc pas trop de choix à faire en fait. On utilise bientôt les PC pour des tentatives de ralliement mais qu'on n'a pas toujours les moyens de s'offrir (2 PC sur 1 max de 5 pour un jet de 6 avec un général stratège, ça calme vite) et qui sont très difficiles à réussir pour des troupes engagées (5+). Donc on joue (?) en quelques minutes avant jeter les dés de combat (on commence par la gauche ou par la droite ?).

Résultat de la bataille : victoire romaine 20 à 13. Comme prévu dès la constitution des armées ? C'est presque caricatural mais pas faux.

Même en cherchant à optimiser de manière abstraite la partie pour le galate, il apparaît que l'infanterie romaine est d'une qualité globale supérieure. Une marche de flanc ? Mouais... mais le romain, réduit à la prudence du fait de son front réduit et de l'obligation de s'accrocher à du terrain pourri, n'aurait pas été davantage pris au dépourvu et aurait pu organiser une ligne de défense quasiment inexpugnable pour le Galate. Choix raisonnable pour le Galate ? Ne pas y aller...

Bon, vous l'avez deviné. Malgré un enthousiasme initial véritable et une obstination sans faille, on est loin d'être emballés par la partie. Nous avons tous les deux ressenti l'impression que le jeu jouait à notre place : peu d'options ou au contraire une trop grande facilité à dépasser certaines contraintes (terrain, allonges des troupes en rapport au champ de bataille, etc.). Pas trop de suspense et de renversement une fois le choc engagé. En tout cas, rien qui ne résulte vraiment de choix stratégiques ou tactiques mais plutôt de l'application mécanique de l'interaction des facteurs ou des jets de dés bruts.

Comme nous sommes des têtus et qu'on a envie d'y croire, on s'y recollera. Sûrement avec des armées plus légères pour tester les grandes manœuvres. Malgré certaines imperfections, la règle fonctionne, c'est certain ! Sans doute n'en avons nous pas mesuré toutes les subtilités après cette première phase de découverte.

Mais va falloir qu'on s'amuse pour de bon ! Pousser du plomb ne nous suffit pas, il faut qu'on consomme de l'adrénaline et là c'était le calme plat ! Va falloir un peu plus de fun la prochaine fois, sinon on ne tardera pas à évoquer la migraine ou les bigoudis à la prochaine proposition de partie d'ADG...

(NB : A côté de nous, partie de DBM 25-250 entre Padawan et Nanardus. Indiens Musulmans Tardifs joués avec du Rohan du Seigneur des Anneaux vs Carthaginois ! Armées magnifiques ! Des photos dans la semaine... ainsi que de l'armée Byzantine de notre nouveau Padawan Krystian !)

dimanche 6 septembre 2009

ADG 1 - Egyptiens vs Ougarites

Comme c'était (quasiment) une première, je n'ai évidemment pas eu le temps, ni l'occasion de prendre beaucoup de photos. Valait mieux feuilleter la règle et consulter la feuille de référence pour ne pas faire trop de cagades (en fait, j'en ai quand même fait une, et une belle : on a stoppé la partie avec un seuil de démo de l'armée arrêté à la moitié du nombre des unités alors qu'il est égal au total du nombre d'unités - mauvais réflexe DBMesque !).

La photo (de qualité fort moyenne, mais c'est le problème des parties du vendredi soir avec la lumière artificielle) montre la situation vers le 2e/3e tour après les premiers échanges de tirs mais avant les premières mêlées (Les Ougarites ont été bien meilleurs tireurs que les Egyptiens, dont trois unités de chars ont déjà leur cohésion entamée avant les charges).

Egyptiens du Nouvel Empire (au premier plan) vs Ougarites

Impressions très rapidement exprimées à propos d'ADG :

Les + :
  • Système simple, facile à appréhender ; on mémorise vite les points de règle abordés : en fin de partie (!) on a fonctionné de manière autonome sans besoin de référence à la règle ;
  • Bataille dynamique où ils se passent des choses ; malgré le nombre réduit d'unités (une vingtaine réparties en trois corps), il faut faire pas mal de choix (en particulier, rallier ou bouger/attaquer/se replier...) ; commandement de qualité recommandé quand même...
  • Aléatoire présent, mais sans exagération, les mécanismes du jeu permettent d'agir dessus ;
  • Rien de neuf, ni de révolutionnaire, mais des bases solides (forcément, ça ressemble à un "best of" de DBM/DBA/FOG/Warmaster...)

Les - :
  • ça manque de profondeur stratégique (allonger la table ne serait pas du luxe pour permettre plus de manoeuvres) ;
  • Les unités d'infanterie légère qui comptent autant dans la démo de l'armée que les unités lourdes d'élite, c'est problématique (ça n'incite pas à attaquer à attaquer les terrains difficiles d'autant que le surnombre apparent ne semble pas entraîner de victoire automatique - à 4 unités légères vs 2, j'ai perdu 1 unité vs 0...) ;
  • Des déséquilibres apparents dans l'interaction des troupes (pas sûr que les archers à pied soient situés à leur juste valeur par rapport aux montés dotés d'arcs)

Le week-end prochain, on y rejoue.

Au programme :
Vendredi soir : Huns vs Patriciens et Séleucides ou Lagides vs Alexandre le Grand
Samedi après-midi : Romains de la République vs Galates et Egyptiens vs Hébreux

En tout cas, première bonne surprise : on rejoue en antique au club le vendredi soir et de nouveaux joueurs se (re)mettent à l'antique/médiéval. De quoi renouveler et étendre enfin le stock disponible d'adversaires qui commençait sérieusement à sentir le renfermé...

jeudi 3 septembre 2009

ADG - Première !

Demain soir, grande première pour la petite règle qui monte "L'Art de la Guerre" (ADG). Enfin, la vraie première car j'ai déjà fait une partie avant l'été (Alexandre le Grand vs Lydiens) mais incomplète. J'espère bien mener celle-ci jusqu'au bout.

Pour tester ADG, j'ai choisi des paires d'armées (plus ou moins) historiques. Pour cette première, ce sera Egyptiens du Nouvel Empire vs Ougarites (semaine prochaine, Attila et ses Huns vs Aetius et les derniers romains). Deux armées de chars légers. L'armée ougarite manœuvre comme un sabot si on la compare à la qualité du commandement égyptien. Mais elle dispose d'un peu plus de troupes de qualité élite. Ce sera l'occasion d'appréhender en réel l'opposition entre archers et chars légers qui devrait donner des choses bien différentes de DBM. La lutte pour la maîtrise des terrains devrait également donner un duel acharné.

En tout cas, ADG c'est facile à transporter. Les deux armées rentrent pile poil dans une seule boîte Kid Paddle, l'indispensable accessoire de tout wargamer qui se respecte ! Et je le prouve.



Les listes d'armées. Sans prétention. Assemblées en 5 minutes chacune. Avec un principe simple : un corps d'attaque avec un max de bonnes troupes, un corps de soutien plus ou moins polyvalent et un corps de défense. Il sera toujours temps d'optimiser plus tard. Pour l'instant, l'objectif est l'acquisition des mécanismes de la règle. Compte rendu prochainement sur cette antenne.